Comment se forment nos émotions

Une émotion est une sensation suscitée par un événement, un souvenir ou une pensée.

Les étapes avant et après l’émotion sont:

  • Perception: ce que je vois, je vis
  • Interprétation: le sens que je donne
  • Émotion: ce que je ressens
  • Comportement: ce que je fais en retour

Confrontant deux personnes au même événement, il est intéressant de remarquer la manière dont notre cœur va réagir de manière différente. La raison est notamment due à notre sensibilité, fruit de notre programmation interne liée à notre histoire.

Simplifier par les mudas

Si l’on demande l’avis de nos clients, 95% des activités nécessaires à la réalisation d’un produit/service ne lui apportent aucune valeur ajoutée.

La chasse aux non-valeurs ajoutées – mudas en Japonais – est donc une réelle opportunité d’intégrer la voix des clients dans notre recherche de simplification. La méthode Lean nous livre une feuille de route claire en matière de simplification de processus:

  • définition des étapes pour réaliser le produit/service (Value Stream Mapping)
  • détails des coûts et temps associés
  • recherche des mudas
  • actions correctives (via les Kaizen) pour les éliminer, réduire, simplifier les mudas

Voici les 7 mudas:

  • Attente
  • Transport
  • Processus excessif
  • Stock
  • Mouvement
  • Non-qualité
  • Surproduction

Enfin voici des exemples de mudas dans le monde informatique.

Mesurer pour améliorer

Le principle est simple: « On ne peut améliorer que ce que l’on mesure ».

Dans le sens « améliorer » il faut aussi entendre: réagir, corriger, … Ensuite la mesure doit être pertinente, expliquée aux équipes et le temps des mesures doit être lié à l’objectif.

Pour du transactionnel, mesurer le temps passé par les équipes sur les étapes détaillées du processus analysé permettra de confirmer la cible à améliorer. Une fois l’amélioration faite, une nouvelle mesure du temps passé sera bien plus pertinente qu’une enquête NPS.

Les étapes du deuil

J’ai récemment dû annoncer à une collègue en prestation chez nous que nous allions nous séparer de ses services au 31 décembre 2012, soit peu de jours avant Noël. Ce fut une décision brutale pour elle.

Sentant le besoin de l’accompagner j’ai recherché les étapes que toute personne passe lors d’un deuil (pro ou perso). Voici ce que j’ai trouvé.

Ces 7 étapes sont linéaires, bien qu’il soit possible de faire des retours en arrière, afin de « tourner la page ».

Etape 1 – Le Choc : C’est une phase courte. L’annonce d’une rupture, conduisant à un constat, une annonce laisse la personne sans émotion apparente. Le terme de sidération peut tout à fait convenir pour qualifier la réaction de la personne face à l’information transmise. Exemple : « Je te quitte, c’est fini, vous êtes viré ».

Etape 2 – Le Déni : C’est le refus de croire l’information. Sont utilisés des arguments et la contestation. Le rejet de l’information fait place à une discussion intérieure ou/et extérieure. Il ne faut cependant pas croire que la brièveté de cette phase signifie qu’elle n’est pas importante. Certaines personnes s’enferment dans cet état de déni, de refuge (préserver la chambre du disparu intacte, continuer à mettre son assiette à table (etc). Exemple : « Ce n’est pas vrai, pas possible…. ».

Etape 3 – La colère et le marchandage : C’est la confrontation avec les faits qui va engendrer une attitude de révolte, tournée vers soi et vers les autres. c’est aussi une phase de marchandage qui peut prendre une tournure « magico-religieuse ». On promet à une « entité invisible » de ne plus faire telle ou telle chose si la situation originelle pouvait revenir. Les intensités peuvent être variables, selon la maturité affective de la personne. La pensée de la personne s’alimente de fortes contradictions. Elle peut s’emporter par ou s’enfermer dans le plus grand mutisme. Des pulsions de vengeance peuvent ainsi la pousser à avoir des comportements qu’elle ne comprend pas elle-même. En fait, la personne est confrontée à l’impossibilité d’un retour à la situation première. Elle doit faire le deuil, et passe par de nombreuses émotions : reproches, remords, ressentiments, dégoûts, de la répulsion, séduction ou agression. Exemple : « C’est de leurs fautes, ils n’ont jamais rien fait pour moi ».

Etape 4 – La tristesse : C’est un état de désespérance. « Ce n’est pas juste, pourquoi elle m’a fait ça à moi, qu’est-ce que je vais devenir » ?

Etape 5 – La résignation : C’est l’abandon de cette lutte au cours de laquelle la personne peut avoir le sentiment d’avoir tout essayé pour revenir à la situation perdue. Elle n’a aucune visibilité de ce qu’elle peut faire. Elle agit au gré des circonstances. Cette résignation peut aussi se composer de rejet. Exemple : « C’est la vie, Dieu est en contrôle ».

Etape 6 – L’acceptation : Dans cette étape, la personne accepte la perte (de l’être cher, de la petite amie, ou du travail). En l’acceptant, elle est capable de garder les beaux moments mais aussi les moins bons. Elle commence à avoir plus confiance en elle, se sent mieux et l’avenir ne semble pas aussi noir qu’avant. Exemple : « J’y pense encore parfois, mais je m’en sors ».

Etape 7 – La reconstruction : l’acceptation seule ne suffit pas. Il faut reconstruire progressivement. La personne en deuil prend conscience qu’elle est en train de se réorganiser pour répondre aux obligations liées à toute vie en société. Se reconstruire amène à mieux se connaître, à découvrir ses ressources personnelles et à prendre conscience de son existence. Cette démarche développe la confiance en soi-même. Le sentiment de vulnérabilité fait place à une nouvelle énergie et, pour le croyant, une plus grande confiance en Dieu.

Source : http://www.cdeville.fr/article-32408659.html

14 tips for raising the bar on memo writing

When people don’t read your memos, it’s not because they don’t like you, it’s because your writing is dreadful.

In a world of text messages, tweets, and e-mails, our standard for reading anything longer than three sentences has gone way up. Here is a hodgepodge of tips that might help:

  • First, focus solely on creation. Get all your thoughts onto a page in their most primitive a form (I know of no better tool than freewriting for this). Organize those thoughts into a first draft.
  • Editing isn’t next, rewriting is. Your first try will almost never be as good as your second. If a memo is worth writing, it’s worth rewriting at least once.
  • Now edit. Eliminate every unnecessary word, sentence, or paragraph. Check for spelling and typo errors. Have someone else edit your work too if possible.
  • Use only one space after periods. If you’re still using two, people might be secretly making fun of you behind your back.
  • Formatting is astonishingly important. If you pack everything together as tightly as possible, people won’t read. White space is your friend.
  • Don’t be afraid to bold key information or highlight the call to action. Make it as easy for the reader as possible.
  • People love numbered lists and bullet points. Don’t you?
  • Don’t try to build suspense or take people on an emotional journey. This isn’t creative writing. Get to the point as quickly as possible.
  • Summaries and appendices are great because they give people the option to read less or more, respectively.
  • Could this be better done with recorded video or audio? Voice over slides is another viable option. Have the courage to ask this question right before you’re about to send. Sometimes you won’t realize it until the memo is done, but just because it’s already written doesn’t mean you should send it.
  • Humor is great. Unless someone died or is getting fired, use it liberally. Joel Spolsky points out that even bad humor works. People will laugh with you or at you, either way, at least they’re still reading.
  • Diagrams and pictures are heavenly and can dramatically reduce word count.
  • Use plain informal language. Read the memo out loud to yourself. Do you talk like that? If you don’t then why are you writing like that?
  • Read a writing blog. Someone that will push you to improve your skills regularly. Jeff Goins has a good one

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